La ferme du bien-être à Saint-Julien Chapteuil

À Bourgeneuf, à proximité de Saint-Julien-Chapteuil, La Ferme du bien-être offre un cadre authentique et enchanteur. C’est un haut lieu de la convivialité sur le chemin de Saint-Jacques. Sur place, Quentin Allirand et sa compagne Cléa, ont décidé de reprendre cet hôtel-restaurant de charme. Son père Bruno, ancien restaurateur au Puy-en-Velay, a eu vrai un coup de foudre.

Comment est née l’idée d’ouvrir cet établissement ?

Quentin Allirand : C’était le rêve de mon père de créer un lieu à la montagne après avoir ouvert un restaurant au Puy-en-Velay. Il a flashé sur cet endroit avec Jérôme Gagne, un ami qui s’est associé avec lui pour retaper cette ferme qui date du 18è siècle. Ensuite est venue l’idée de créer un hôtel-restaurant.

Qu’est-ce qui t’a incité à travailler ici ?

Mon père m’a toujours incité à exercer un métier manuel. La cuisine a été une évidence. Pourtant, ce n’était pas une passion au début, mais ça l’est devenue petit à petit. J’ai décidé de me lancer et j’ai eu la chance d’intégrer l’Institut Paul Bocuse à Lyon. Puis, cela m’a permis de faire des stages dans de belles maisons comme La Grenouillère dans le Pas-de-Calais, ou la Mère Brazier à Lyon.

Quelles sont les spécificités de l’hôtel ?

Nous proposons 7 chambres de caractère, qui sont mansardées sous les toits, avec des matériaux dominants comme le bois, le métal et la pierre. On essaye de mettre en avant l’accueil et l’aspect chaleureux de notre établissement, auprès de nos clients. Enfin, nous avons voulu privilégier une ambiance cosy avec des couleurs apaisantes comme le blanc le beige ou le marron.

Quelles sont les spécificités de l’espace détente ?

Nous proposons un espace détente avec un jacuzzi et un spa. Nous avons également un espace réservé aux massages.

Quelle cuisine est proposée ?

On a une cuisine chaleureuse, autour des plats confectionnés par le chef Jean-Marie Duchanois. Elle est basée sur les produits du terroir, comme la truite du Vourzac, la lentille verte du Puy, la viande de notre boucher du Monastier, et les légumes du Jardin de Johanna. De plus, j’ai pensé aménager un plan de travail autour de la cheminée afin de proposer des viandes cuites au feu de bois.

www.fermebienetre.com