Depuis le premier confinement, Lucile Filhol immortalise, en poster, la ville du Puy-en-Velay. Cette jeune artiste Cantalienne de 24 ans a laissé tomber ses études en design graphique à Lyon, pour se consacrer à sa passion qui est le dessin. Elle est tombée amoureuse de la ville du Puy-en-Velay depuis son plus jeune âge, et aujourd’hui, elle croque la ville à travers ses œuvres originales qu’elle partage, et qu’elle vend via les réseaux sociaux, sous le nom « Ma vie de Lune ».
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Situé sur la 3ème étape du GR®765 en partant de Lyon, la ville de Saint-Symphorien-sur-Coise impose que l’on s’y attarde un moment. En effet, classé parmi les Plus Beaux Détours de France, cette cité sur le Saint-Jacques-de-Compostelle saura vous ravir. Lire plus
Dans le cadre de la promotion des chemins de Saint-Jacques en Massif Central, la Communauté d’agglomération du Puy-en-Velay organise un événement dédié au GR®765, en partenariat avec les villes de Saint-Galmier, Craponne-sur-Arzon et Le Puy-en-Velay. Lire plus
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– Véronique Appercelle, responsable du site Distillerie de la Verveine du Velay Pagès à Blavozy
– et Olivier Thébaud, directeur général chez « Pagès Thés et Infusions » à Espaly. Lire plus
Depuis plus de 40 ans le Centre d’enseignement de la dentelle au Puy-en-Velay perpétue la tradition du travail d’autrefois. À la fin du XIXe siècle, la Haute-Loire comptait plus de 120 000 dentelières, soit un tiers de la population. L’établissement qui est présidé par Mireille Roche forme chaque année 400 personnes provenant du monde entier. Elle fait régulièrement l’objet de reportages dans les médias. Lire plus
Au pied de la cathédrale du Puy-en-Velay, départ emblématique du pèlerinage de Saint-Jacques, Les Cimes du Puy-en-Velay offrent une vue incroyable sur la ville. Cette ancienne demeure du XVe siècle qui a été transformée en hôtel particulier. Celle-ci abrite aujourd’hui des chambres d’hôtes haut de gamme. Ces chambres ont été conçues comme dans un hôtel 5 étoiles ! Lire plus
Maël Gemähling, ancien chauffeur-routier, s’est installé sur le plateau casadéen pour exercer le métier de brasseur de bières. Il propose depuis quelques mois une gamme de bières artisanales savoureuses et de caractère qui ont de quoi ravir les amateurs. Dans sa brasserie baptisée tout simplement « La Féline »*, il a produit ses premières bières en mai 2020. Aujourd’hui, ce passionné de malt et de houblon, propose quatre bières, et ne manque pas de projets. Interview.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de créer cette brasserie ?
Maël Gemähling : C’est Sylvain, un ami qui faisait de la bière à Alès qui m’a donné envie de me lancer dans la fabrication de la bière. A l’époque, j’habitais là-bas, et j’étais chauffeur-routier. Par la suite, nous nous sommes retrouvés tous les deux à Tain L’Hermitage, avant de déménager ici à Félines, avec ma compagne. Nous avons décidé de nous mettre à notre compte. J’ai produit mes premières bières en mai 2020, après avoir suivi une formation à Rouen, chez BrewSociety, l’Institut de brassiculture normand, et ma compagne a ouvert un studio de tatouage.
Quelles sont les particularités de vos bières ?
Je propose actuellement quatre bières : il y a une blonde Ale type belge, également une bière ambrée à la coriandre, une India Pale Ale rousse, et très fortement houblonnée, aux saveurs amères, et très florales. Enfin, je propose une bière au miel qui s’appelle La Butineuse, et que je fabrique en collaboration avec une apicultrice qui se trouve à la Chaise-Dieu. C’est une boisson finement aromatisée par des zestes d’orange et des graines de coriandre concassées. J’ai baptisée mes bières « La Féline », en hommage à la commune.
De quelle façon sont-elles conçues ?
J’utilise du malt qui m’est fourni par la Malterie des volcans de Saint-Germain-Lembron, près d’Issoire. Mon houblon vient principalement d’Alsace et d’Angleterre. Au niveau du brassage, je commence à concasser mon malt, avant de le mettre à chauffer dans une grosse marmite remplie d’eau. Il y a plusieurs paliers de températures qui me permettent d’extraire tous les sucres, avant de passer en phase d’ébullition. J’y ajoute le houblon, les épices, et les différents aromates.
Que représente la production ?
Théoriquement je devrai brasser 300 litres de bière par semaine, mais en dehors de l’été dernier, je n’ai pas réussi à le faire en raison du contexte actuel lié à la crise sanitaire. Il n’y a pas la demande nécessaire aujourd’hui au niveau des bars et des restaurants.
Où peut-on se procurer vos bières ?
Notamment au marché de Craponne/Arzon, mais également à la boutique de producteurs « Le Bancale », où l’on fait du dépôt-vente à Craponne/Arzon. On la trouve chez plusieurs commerçants de la commune, mais également à la boucherie de Jullianges, ou bien encore à l’épicerie Le P’tit Bougnat, à la Chaise-Dieu.
Des projets ?
Il y aura bientôt une cinquième bière. Et puis on réfléchit à pourvoir distribuer toutes mes bières à la Cave Molière, au Puy-en-Velay.
*L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
”Brasserie artisanale La Féline
La Souchère les Bains
43160 Felines
06 83 38 51 05
Crédit photos: Velay Attractivité
Classé parmi les villages de caractère de la Loire, au cœur des monts du Forez, Marols offre à ses habitants et à ses visiteurs un sentiment d’évasion loin du rythme frénétique du quotidien. Les marcheurs du GR765 Saint-Jacques-de-Compostelle pourront agréablement y faire une halte gourmande. Lire plus
En septembre 2019, Monseigneur Crepy nomme le Père Ollu à la tête du nouvel ensemble paroissial Notre-Dame-du-Puy qui regroupe d’anciennes paroisses du bassin ponot. En effet, le Père Ollu avait une bonne connaissance du territoire altiligérien en étant ancré sur les communes de Polignac, Ceyssac, Vals et des églises Saint-Joseph et Saint-Laurent. Lire plus
Spécialisée dans la fabrication de granulés de bois, la société Cogra est l’acteur de référence dans le bois en France et en Europe. Elle dispose de deux sites de production dont un à Craponne-sur-Arzon. La société est également importatrice de poêles à granulés de bois, de grills à granulés de bois et grossiste/conseil de chaudières.
Quelle est l’histoire de l’entreprise Cogra ?
Bernard Chapon : L’entreprise a vu le jour en 1982. Nous sommes aujourd’hui le plus ancien producteur de granulés de bois en Europe. Cette ancienneté nous donne quelques longueurs d’avance au niveau du savoir-faire et de l’appréhension des marchés. De plus, nous avons développé une certaine technologie pour leur fabrication. Mais également au niveau de la logistique, afin de pouvoir livrer des granulés en sacs et en vrac. Nous avons été les premiers à introduire les poêles à granulés en France.
L’accueil qui m’a été réservé à Craponne-sur-Arzon lorsque l’entreprise s’est installée ici a été très bienveillant. Nous avons cherché des partenaires comme la scierie Gallien et nous avons trouvé des amis !
Quelles sont les particularités du site de Craponne ?
L’entreprise de Craponne-sur-Arzon a été ouverte en 2005-2006. Il y a ici un gisement de produits connexes comme la sciure, les plaquettes et les écorces qui sont un combustible important pour nous. La matière première prélevée dans le milieu naturel par les scieries, permet de créer de l’emploi, direct et indirect et de créer une vraie activité économique.
De quelle façon sont fabriqués les granulés de bois ?
Lorsque j’ai débuté en 1982, je n’ai pas eu de professeur ! J’ai un peu tatonné au départ pour trouver les bons paramètres. Il m’a fallu trois ans pour acquérir la bonne méthode. On utilise la sciure du bois en poudre que l’on sèche et que l’on broie, avant de la comprimer en granulés. C’est l’affinité entre la cellulose et la lignine qui fait la cohésion, sans adjonction de liant chimique. Nous utilisons des presses à granulés. Le principe est très simple : c’est un anneau perforé de 3.000 trous, à l’intérieur desquels deux rouleaux forcent la sciure, de l’intérieur à l’extérieur, avant de la comprimer en granulés.
Quelles sont les qualités de ces granulés ?
Un granulé de bois de bonne qualité doit être le plus dur possible, lorsqu’il sort de la presse. Il doit être le plus friable possible au moment où l’on va le brûler. Il y a donc un bon compromis à trouver entre ces deux états. C’est celui que nous avons développé chez Cogra. Ce n’est pas la couleur, la luisance ou l’aspect tactile du granulé qui font sa qualité, c’est essentiellement la qualité qu’il offre au niveau de la combustion.
Que représente la production annuelle ?
Nous produisions 50.000 tonnes de granulés par an dans notre ancienne usine. Nous allons passer à 125.000 tonnes par an dans la nouvelle unité.
Cogra vend également des poêles à granulés ?
Nous avons débuté l’importation de poêles à granulés en 1998 et nous avons noué un partenariat avec un fabricant américain. Le poêle à granulés en bois, il faut le savoir, a été inventé aux USA. La particularité de cette technologie issue de ces poêles est tout à fait singulière. Elle propose une alimentation par le bas, ce qui permet un décendrage automatique en continu, avec une contrainte d’entretien allégée, puisque l’on peut brûler une tonne de granulés avant de nettoyer le poêle. De plus, nous sommes importateurs de poêles à granulés de bois Harman, de grills à granulés de bois Grillson et nous sommes grossiste/conseil des chaudières Froling. Cela nous permet de stocker du matériel et d’avoir à disposition des pièces détachées. Enfin, nous proposons nos conseils aux clients et nous effectuons même l’entretien annuel des poêles.
”Cogra
La Marelle
43500 Craponne-sur-Arzon
Tél : 04 71 01 20 92
Crédits photos : Cogra – Gallien Bois Imprégnés / CH BOUSQUET
Cela fait vingt ans que Nicole et Gilbert Montagnon, deux horticulteurs labellisés bio au Gaec « Fleurs de verveine », ont misé sur la verveine. Ils cultivent cette plante emblématique de la Haute-Loire, de mai à octobre sur les hauteurs de Rosières, au hameau de Rougeac. Chaque année, le Gaec produit environ 100 kilos de feuilles séchées de verveine. Ils proposent également des infusettes, du sirop, des bonbons verveine et miel, et des biscuits. Lire plus